Essai comparatif : la Mercedes Classe A 2018 défie l'Audi A3 Sportback
01/06/2018Réfractaires aux nouvelles technologies, passez votre chemin. La nouvelle Mercedes Classe A sature son habitacle d'équipements du futur, et provoque l'autre compacte la plus « techno » du marché : l'Audi A3 Sportback. Premier match entre les versions à essence Classe A 200 et A3 Sportback 1.5 TFSi.
Moteur Essence | Puissance : 150 ch |
36 120 € | ni bonus ni malus |
Moteur Essence | Puissance : 163 ch |
37 750 € | ni bonus ni malus |
Compacte premium, ou assistante virtuelle ? C’est la question qui naît, après 5 minutes passées à tester la commande vocale de la nouvelle Mercedes Classe A. Plus seulement capable de reconnaître une adresse ou le contact d’un répertoire téléphonique, la Classe A sait ajuster, à l’oral, la température de clim’ du passager, indiquer la météo après des questions variées (« quel temps fait-il à destination ? », mais aussi « dois-je prendre mes lunettes de soleil ? »), ou choisir un resto d’après sa note sur Yelp (« trouve-moi un bon restaurant italien » fonctionne mais… « trouve-moi un mauvais resto italien » également !).
La Classe A évolue peu dehors... ...mais beaucoup à bord !
En Classe A 2018 donc, plus besoin de quitter la route des yeux, fouiner dans les menus du GPS ou s’arrêter pour consulter son smartphone, il suffit de laisser « travailler » cet assistant virtuel qui, au-delà d’épater vos amis, apporte un réel confort au quotidien. A ce niveau de gamme, voilà qui est inédit… et inquiète l’ex-star de la technologie : l’Audi A3 Sportback.
La Classe A inquiète l’A3 Sportback
A la faveur d’un restylage riche en équipements modernes, l’Audi A3 Sportback se croyait à l’abri du coup de vieux : connectivité renforcée avec les smartphones (Apple CarPlay/Android Auto, recharge par induction en option), feux Matrix LED adaptatifs, régulateur de vitesse actif à fonction embouteillages.
Technos, même sous le capot !
Malgré son âge avancé, l’A3 Sportback n’oublie jamais de renouveler ses motorisations. Ce 1.5 TFSi 150 ch à essence a ainsi rejoint la gamme en 2017 et conserve, comme l’ancien 1.4 de même puissance, la fameuse désactivation des cylindres à faible charge. Une fonction justement inaugurée par la Classe A 200, sur un nouveau bloc 1.3 turbo de 163 ch conçu en collaboration avec Renault-Nissan (identique… à cette technologie près).
Souce: http://www.largus.fr
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